lundi 24 mars 2014


Ça sent l'printemps !

Bonjour à toutes et à tous,

Les bourgeons bourgeonnent, les fleurs fleurissent, les vaches paissent, et le train passe !.. Bref ! C'est l'printemps qui pointe son nez, et avec lui cet optimisme si français qui nous ravit et qu'on nous envie tant, porté par nos médias bien aimés toujours aussi prompts à nous donner envie d'écouter de la viole de Gambe un soir de pluie, et surtout de faire du frisbee avec nos écrans plats. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai toujours ma télé à tube qui fait dans les 3 tonnes et demi, et prend 5 m2 dans le salon. Certes pour des raisons bassement économiques, mais aussi et surtout parce que c'est compliqué de faire du frisbee avec. 

Mais je ne vais pas m'étendre plus longtemps sur ma vie cathodique, j'irai à confesse dimanche. 

Si j'ai repris le clavier, c'est pour vous dire que si la tournée de Riviera se termine, il y a cependant une bonne nouvelle : Myriam Boyer a décidé de produire 30 représentations exceptionnelles de la pièce au théâtre "Les Déchargeurs" à Paris, du 12 avril au 24 mai. 




Il s'agira d'une version "light" - donc tout à fait indiquée pour les diabétiques - pour des raisons évidentes de place étant donnée la taille du lieu. C'est donc une occasion inespérée pour celles et ceux qui ne sont pas encore allés voir la pièce - j'ai croisé 3 personnes dans ce cas dimanche au vide grenier de Pont sur Yonne... Mais bon ils étaient croates, aveugles, et n'allaient jamais au théâtre pour des raisons mystiques obscures - mais aussi et surtout pour celles et ceux qui l'ont déjà vue maintes fois, et qui n'en finissaient pas de se languir de la revoir.

Autre bonne nouvelle du jour, on repart à Avignon cet été avec "Un jour c'était la nuit", une comédie absurde haute en couleur pour une vision terriblement optimiste sur le couple, quand il se hait au point ne plus s'aimer !... Ou pas. 



La pièce sera interprétée par les excellentissimes (je sais qu'ils vont lire cette news letter) Sophie Mounicot et Philippe Lelièvre, au nouveau Théatre Actueldu 05 au 27 juillet, à 20 h30. Ma prochaine lettre sera l'occasion de vous donner plus d'éléments sur cette création, et surtout de vous montrer en exclusivité - petits veinards que vous êtes - l'affiche !

Alors à vos calepins et prenez date !

Et là de vous entendre dire :
"Tiens c'est marrant ! Il a encore une télé à tube !... Ça doit pas gagner des masses un auteur de théâtre..."
Et moi de vous répondre :
"Ouais, mais moi je peux encore poser des trucs dessus, genre bibelots sur napperon ! Essayez de faire pareil avec vos écrans plats !"

A très vite pour l'affiche !

Emmanuel

lundi 6 janvier 2014

"Le Retour du Chandaille !"

Ah ! Humour quand tu nous tiens !
Rien de tel qu'un petit jeu de mots bien senti pour vous souhaiter une excellente nouvelle année !

A peine remis d'un gavage de foie gras quelques peu abusif, je reprends donc ma plume d'oie justement - décidément l'oie c'est comme le cochon, tout est bon ! - pour vous donner quelques nouvelles fraîches, c'est de saison.
Tout d'abord la tournée de Riviera qui commence doucement en janvier, et qui se poursuivra jusqu'en mars. Pour celles et ceux qui se sont échinés à trouver une excuse bidon pour ne pas venir voir la pièce l'année dernière, plus d'excuses ! 



Donc, deux dates sont prévues près de Paris :
- le 11 à Thiais, charmante bourgade dont les premières traces d'habitation datent du néolithique, c'est pour dire !
- le 31 à La Celle Saint Cloud, qui ne date que de 697, ce qui est, pour le coup, beaucoup moins impressionnant.

La plupart des dates sont programmées en février. Je me ferai donc un plaisir de vous en faire part en temps et en heure.

Je profite aussi de cet élan soudain pour vous donner quelques nouvelles côté projets. 
J'ose espérer de bonnes nouvelles dans les mois qui viennent concernant quelques pièces actuellement en cours de lecture auprès d'illustres metteurs en scène et autres comédiens, non moins illustres.

- "Le président", adaptation de célèbre roman du célèbre Simenon, pour laquelle nous cherchons toujours un Président... Ce qui est assez d'actualité finalement !
-  "La donation", une pièce de boulevard que j'ai eu l'honneur et le privilège d'écrire à 4 mains avec Edouard Molinaro qui nous a malheureusement quitté récemment. Je pense à lui.



- "Un jour c'était la nuit", une comédie absurde et délirante pour une vision "hypra-optimiste" du couple, défendue avec brio par Sophie Mounicot et Philippe Lelièvre, sous la direction de Jean-Paul Muel.
- "Ça", une histoire sans queue ni tête qui mettrait les boules à Dubillard... Les boules Dubillard... Attention gag !... Ou pas. 

Bref !

Sinon, l'écriture de mon premier scénario de long métrage cinéma "Fleur de sang" est terminée, avec le soutien de Dacor films. Au fait ! Si quelqu'un a 15 millions d'euros dont il ne sait pas quoi faire !... Autre belle concrétisation, "La concierge est dans l'escalier", un programme court dont j'espère vous donner des nouvelles très prochainement puisque nous proposons le pilote aux chaînes en ce moment même. Un concept franco-belge impertinent co-écrit avec ma camarade d'écriture Nadine Monfils, qui je l'espère, saura trouver sa place dans "le paysage audiovisuel"... Le programme, pas Nadine !... Quoique.

D'autres projets d'écriture devraient voir le jour en ce début d'année : 2 autres programmes courts sont dores et déjà proposés à des productions, et 2 projets de long-métrages sont en cours de négociation, ce qui en soi ne veut strictement rien dire, mais ça fait super sérieux.

Et là de vous entendre susurrer :
"Et ben dis-donc, s'il s'est gavé d'oie, ça a dû descendre dans les chevilles !"
Et moi de vous répondre :
"Peut-être, mais maintenant, j'ai le pied marin !"

A très bientôt pour de nouvelles... nouvelles.

Emmanuel

jeudi 7 février 2013

La rue de la Gaieté...

Salut tout le monde,

Jamais une rue n'a aussi bien porté son nom ! Tout se passe pour le mieux sur la Riviera, et Fréhel et sa clique sont aux anges. Des personnes de tous les bords viennent voir la pièce : celles et ceux qui entendaient leurs parents chantonner la chanson des faubourgs quand ils étaient enfants, mais aussi un public plus jeune - comprenez ceux qui ne sont pas encore cinquantenaires - qui viennent tout simplement voir Myriam et entendre l'histoire d'amour Icarienne de la sacrée bonne femme qu'elle incarne si magnifiquement.
Et il y a aussi l'incroyable promotion du spectacle qui est faite sur les ondes. Cela faisait un bail que le nom de Fréhel et sa voix n'avaient été autant diffusés sur les antennes.
Quel plaisir, et aussi un peu de fierté. Faut le dire.

Vous trouverez ci-dessous quelques liens pour écouter, lire ou regarder les interventions de Myriam dans les médias. Vous avez 1 heure ou 2 ?

Chez Pascale Clark sur France Inter :

Article sur le net :

Dans Télématin sur France 2 :

Sur Europe 1 :

Chez Frédéric Lopez sur France Inter :

Article dans Pariscope :



Et là de vous entendre hurler :
"N'en jetez plus ! On n'a pas la journée non plus ! Y en a qui bossent !"
Et moi de vous répondre :
"C'est ça ou la vie de Shakira racontée en boucle par Marlène Jobert"
Et vous de rétorquer aussi sec :
"Ah non ! Pas Marlène Jobert !!!"

Avant de vous quitter, la sempiternelle petite piqûre de rappel : rejoignez la communauté de Riviera sur Facebook (si on est assez un jour, on pourra peut-être intéresser Peter Jackson pour un film !...)

À très bientôt au petit Montparnasse.

Emmanuel



mardi 22 janvier 2013

C'est la java bleue !

Déjà une semaine que Fréhel fredonne sur les planches du petit Montparnasse et le bonheur est au rendez-vous. Après une première sensationnelle - je suis très objectif, c'est moi l'auteur, je fais ce que je veux - il semblerait que le public veuille rencontrer ou revoir cette femme exceptionnelle malheureusement oubliée jusqu'alors. Car l'inoubliable "inoubliée"est partout ! Je ne cache d'ailleurs pas une certaine fierté à être la cause de son retour au-devant de la scène. La vue de son portrait en plein écran au journal de France télévision lors de l'interview de Myriam la semaine dernière a même failli me faire monter les larmes aux yeux. Et oui, je suis plutôt du genre sentimental, quoi que sélectif. On ne parle plus que d'elle ! Le Parisien il y a 2 jours, France inter ce week-end, France info ce matin, n'en jetez plus ! Ne voulant pas me priver du plaisir de partager avec vous sa renommée retrouvée, vous trouverez ci-dessous les liens pour écouter ou lire les références susdites :

Interview de Myriam sur France info :
http://www.franceinfo.fr/arts-spectacles/a-l-affiche/a-l-affiche-22-01-myriam-boyer-868445-2013-01-22

Article du Parisien :



























































Et pour tous ceux qui sont venus voir la pièce à Avignon, je ne peux que vous conseiller de revenir ! Le spectacle a évolué de manière étonnante, la ligne ténue de l'émotion est suivie par les comédiens avec une telle agilité et une telle subtilité que l'histoire n'en est désormais que plus poignante.

Et là de vous entendre murmurer :
"À ce qu'il paraît, l'auteur aurait acheté une datcha en Ouzbek-machin-truc..."
Et moi de rétorquer :
"Que nenni ! Il ne faut pas croire tout ce qu'on raconte dans la presse !"
Et vous d'insister :
"C'est ça ! Pas à nous, hein ?! On en a vu d'autres !"
Et moi de m'étonner :
"Ah bon ? Qui ça ?"

On vous attend au petit-Montparnasse !

À très bientôt.

Emmanuel

PS : rejoignez la communauté de Riviera !
http://www.facebook.com/riviera.montparnasse?fref=ts

lundi 7 janvier 2013

J-8 !...

La promo commence alors que les répétitions débutent demain mercredi. Je ne manquerai pas de faire quelques photos pour vous faire partager ces moments d'excitation mêlée d'angoisse... Enfin pour moi ! Tout le monde a l'air serein, sauf moi ! Les turpitudes de l'auteur névrosé, très certainement !
Pour celles et ceux qui n'ont pas vu le journal de France 2 hier midi - il paraît qu'il y en a qui bossent - vous trouverez ci-dessous l'interview de Myriam. Histoire de vous mettre l'eau à la bouche.

http://api.dmcloud.net/player/pubpage/4e709e80f325e11e5f000025/50ead99206361d0db0106dfc/dd4048285abe45d4b713e94f0613544b?wmode=direct

Et là de vous entendre dire :
"Et ben ça y est, on parle de lui à télé. Y manquait plus que ça pour qu'il pète un câble !"
Et moi de vous répondre :
"Et ouais ! Je vais péter un câble ! Péter un plomb ! Prendre le melon ! Grossir des chevilles ! Exploser de la cafetière ! Péter plus haut que mon c...!"
Et vous de rétorquer :
"Et grossier avec ça ! C'est bien les gens du showbise, ça ! Comme Depardieu !"
Et moi de conclure :
"Ah oui, tiens... Une datcha pour le week-end !... Pas con !"

Et pour ceux qui ne font pas encore partie de la communauté de Riviera - il n'y a pas que celle de l'anneau - je vous invite à vous inscrire sur la page Facebook et faire partager.

http://www.facebook.com/riviera.montparnasse?ref=hl

À très bientôt

Emmanuel


mardi 11 décembre 2012

La Riviera à Paris

Pour tous ceux qui n'ont pas eu la chance d'aller s'agglutiner sur la Riviera l'été dernier, Riviera vient ensoleiller Paris cet hiver. Après son succès au dernier festival d'Avignon et une petite tournée d'automne histoire de ne pas perdre la voix, Fréhel, Maurice et Paulette posent enfin leurs valises sur la scène du Théâtre du petit Montparnasse à partir du 16 janvier. 

J'en appelle à ce propos aux forces vives de la nation pour commencer à parler de la pièce dans les dîners mondains et autres sauteries des bas quartiers. Avoir l'occasion d'écouter une comédienne de la trempe de Myriam Boyer ne se présente pas tous les jours, et son interprétation de Fréhel est tout simplement magnifique (oui, je sais, je le disais déjà dans la news letter précédente, mais en fait... C'est parce qu'elle est encore mieux aujourd'hui qu'à l'époque, voilà !)

Sinon, pour tous les accros de Facebook - dont je fais toujours semblant de ne pas faire partie pour continuer de jouer le rebelle - une page pour la pièce est désormais créée. Je vous invite donc à la partager et à l'aimer pour faire circuler l'info.

Et là de vous entendre dire :
"Il est gonflé le scribouillard ! Il veut qu'on aime la page de sa pièce, alors qu'on ne l'a même pas vue, sa pièce !"
Et moi de vous répondre :
"Et alors ?"
Et vous de répliquer :
"C'est sûr. Vu sous cet angle..."

Donc l'adresse sur laquelle vous allez prestement vous précipiter :
http://www.facebook.com/riviera.montparnasse

Et est-ce toujours et encore nécessaire de vous rappeler que cette excellente pièce est éditée par l'excellente maison d'édition L'Avant-scène Théâtre. Ça aussi je l'avais déjà dit, mais c'est fait exprès. Ça s'appelle du martelage médiatique.




À très bientôt et faites passer !

Emmanuel


















mardi 17 juillet 2012

Direction la Riviera

Comme chaque été, il semblerait que la Riviera soit encore une fois la destination de prédilection de nos amis estivants. Depuis le 07 juillet, jour de la première, le théâtre du Chêne Noir à Avignon ne désemplit pas. A chaque fin de représentation, le public applaudit, la larme à l'oeil, la performance incroyable de nos 3 comédiens, et plus particulièrement Myriam Boyer, qui, je dois l'avouer, donne une interprétation de Fréhel qui va bien au-delà de mes attentes.

Pour celles et ceux qui ne pourront pas voir le spectacle à Avignon - je leur rappelle qu'ils pourront se précipiter au Petit Montparnasse dès janvier - voici quelques unes de photos effectuées par Manuel Pascual, histoire de vous faire regretter d'avoir choisi Charleville-Mezieres ou Bar le Duc comme destination de vacances.








 Et là de vous entendre dire :
"Mince, en fait, ça a l'air super bien ce spectacle !... Dis-donc Janine, et si on allait à Avignon plutôt qu'à Gueugnon ?"
Et moi de vous répondre :
"En même temps, c'est sympa, Gueugnon. Ils ont même une pirogue "monoxyle" tellement vieille qu'elle aurait pu balader Jesus sur l'Arroux !..."
Et vous de répliquer :
"Ah bon ?... Ben, qu'est-ce que t'en penses Janine ?"
Pour finir sur ces mots historiques de Janine :
"Oh moi, tu sais, les pirogues..."

Et est-ce encore nécessaire de vous rappeler que la pièce est éditée par la très respectable maison d'édition L'Avant-scène Théâtre, effet garanti auprès de vos amis si vous laissez trainer l'ouvrage, comme ça, l'air de rien, sur la table du salon.





A très bientôt et faites passer !


Emmanuel